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Rapport Final Paris 2008

20 mai 2008

RAPPORT FINAL

PAGE COUVERTURE
COPIE

1Partir travailler à l’étranger ? J’ai toujours rêvé de le faire et c’est en Janvier 2008 que j’ai passé à l’action. Je me suis inscrite pour participer à un stage de six semaines en France organisé par l’Office Franco-québécois pour la Jeunesse. Ce stage avait pour but de nous faire acquérir des aptitudes et compétences en milieu de travail pour nous aider à trouver, à notre retour, un emploi stable à temps plein. Les stages, pour la plupart, étaient dans le domaine du tourisme et de la restauration, sauf pour Karine qui est infographe. Mon stage à moi s’est déroulé au restaurant le Stade d’Issy à Issy-les-Moulineaux (banlieue au sud-ouest de Paris) où j’étais serveuse du lundi au vendredi, de 9:30 à 16 :00. Je suis partie le 27 Mars 2008 avec quatre autres personnes ; Karine Gaudreault, Aimée-Soleil Laframboise, Charlélie Lussier-Masson et Michel Robert (qui a dû être rapatrié environ une semaine après notre arrivée pour cause médicale). Nous avons vécu en colocation, tous ensembles, dans un superbe appartement (au 14 e étage avec vue sur la Tour Eiffel) dans le 13 e arrondissement de Paris ou nous avons pu partager, entre québécois, l’expérience de la vie Parisienne ainsi que les hauts et les bas de la colocation (Il faut dire que des hauts et des bas il y en a eu beaucoup puisque nous nous connaissions à peine avant le voyage). C’est un énorme privilège pour nous d’avoir pu vivre cet expérience tellement enrichissante autant professionnellement que personnellement. Ce n’est pas tout le monde qui a la chance de participer à un projet comme celui-ci et j’en suis très reconnaissante. En plus de toute l’expérience professionnelle que j’ai acquise au restaurant le Stade d’Issy, j’ai pu en apprendre beaucoup sur moi, les autres et bien sûr, sur la France, sa culture et son mode de vie. Je crois que ce rapport de stage est la moindre des choses que je puisse faire pour exprimer mon appréciation d’avoir été choisie pour ce projet en plus de pouvoir aider des futurs stagiaires à se préparer pour un stage semblable au mien. J’ai donc crée ce rapport aussi détaillé et clair que possible en y ajoutant beaucoup de photos et de références autant pour l’OFQJ que pour des futurs stagiaires et aussi bien pour monsieur et madame tout-le-monde qui serait intéressé à lire le ramassis de mes péripéties françaises.


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AVANT LE DÉPART

Bien sûr, partir travailler en France pendant un mois et demi   (ce qui parait bien long mais qui représente en réalité que 0.1470% de notre vie)  ne se fait pas en criant ‘ciseaux !’. Il faut du temps, de l’organisation et de la planification mais aussi une tonne de papier et un bon stylo.

Après avoir répondu à l’annonce dans le journal, passé une entrevue et avoir été accepté par le Centre d’Emploi, il y a une multitude d’étapes (aussi importantes les unes que les autres) qui s’ajoutent à la liste de préparation du stage.

etapes

L'ARRIVÉE


Après le trajet d’avion d’environ 6h35 (qui parait infiniment plus long parcequ’on a tellement hâte d’arriver qu’on tient plus en place et qu’on s’auto-torture en regardant l’heure tout les 3 minutes et demi) on est finalement arrivé à destination où on attend (…encore…) aux douanes et au carrousel ou l’on doit récupérer nos bagages. Nous avons ensuite été accueillis à la sortie de l’aéroport par un représentant le l’OFQJ (Guillaume) qui nous a  emmené à l’endroit où nous devions passer la première nuit, c'est-à-dire, le centre Kellerman (grande auberge jeunesse situé au métro Porte d’Italie).

Nous avons passé les deux premières journées à visiter à pied et en autobus (assez rapidement car Guillaume était très pressé…) des rues piétonnes typiquement Parisiennes, quelques monuments ; Bastille, Tour Eiffel, Cathédrale Notre-Dame […] ainsi qu’un ou deux parcs dont le Jardin des Tuileries et

la Place

des Vosges. C’était quand même un bel aperçu de ce qui nous attendait dans les prochaines semaines. En fin d’après-midi, certains sont allés boire un verre dans un petit café/bar près de

la Cathédrale

Notre-Dame

et d’autres (dont moi) sont retournés à l’auberge pour se reposer et prendre une douche avant d’aller souper (**en France le souper est appelé le diner**).

kellerman

Le lendemain, après une nuit de sommeil plus ou moins reposante (vive le décalage horaire !) nousmetro_a_retenir avons profité de notre dimanche pour s’installer dans notre appart et revoir notre trajet pour ce rendre au travail pour éviter d’être en retard le lendemain. D’après ce qu’on nous avait dit concernant les transports en commun Parisiens, ce rendre du point A au point B serait super compliqué mais en fait, ce ne l’était pas du tout. On se rend vite compte que le métro Montréalais à 4 lignes et environ 3 stations de transfert a l’air de rien à côté du métro Parisien à 14 lignes ou on peut transférer à presque toutes les stations vers au moins 3 autres lignes (sans compter les noms de stations à dormir dehors qui rendent le trajet encore plus difficile à retenir…) mais on comprend vite comment ça fonctionne (c’est quand même juste un réseau de métro pas un plan d’assemblage de bombe atomique).


LE TRAVAIL
resto

  La plupart des stages étaient dans le domaine du tourisme et de la restauration sauf pour Karine, qui est infographe et effectuait son stage dans ce domaine.
Mon horaire de travail était du lundi au vendredi de 9 :30 à 16 :00. En tant que serveuse, mes tâches consistaient à accueillir les clients, prendre les commandes, servir les repas, desservir et remonter les tables, aider en cuisine de temps à autres (quand le temps le permettait), aider à l’ouverture du restaurant ; nettoyer, ajouter les couverts manquants, nettoyer les nappes, préparer les carafes d’eau et les sous-tasses, nettoyer les couverts sales au vinaigre, préparer ma  console pour le service et ainsi que d’autres tâches diverses. J’aidais aussi à la fermeture ; faire la vaisselle au bar, ranger les desserts, remonter les tables de ma section, passer le balai, nettoyer la machine à café etc. Étant donné que le restaurant était ouvert le soir et/ou la fin de semaine pour les réservations de groupes, je devais parfois dresser des grandes tables pour accommoder les réservations.

Les deux premières semaines je n’étais pas très à l’aise avec mes tâches. Je ne savais pas trop ce qui devait être fait et quand ni comment les autres employés avaient l’habitude de faire les choses. Tout les patrons de tous les entreprises ont des petits ‘caprices’, des habitudes et des préférences sur la manière et l’ordre dans laquelle il faut effectuer certaines tâches et Serge, mon employeur ne faisait pas exception à la règle. Il voulait que son imposante collection d’articles de sports soient époussetée à tout les matins, que toutes les chaises soient alignées avec la chaise devant et que tout les couverts soient parfaitement droit, symétriques et alignées avec ceux de devant. Il voulait que toutes les nappes de toutes les tables aient la même longueur qui pends sur les côtés, que les serviettes soient pliées d’une telle façon, que tout les couverts, verres et assiettes brillent etc. Il portait attention sur des détails que les Québécois jugent insignifiants ou impertinents. En gros, les 14 premiers jours j’étais complètement perdue et je trouvais les journées horriblement longues. En plus, comme je n’étais pas habituée de rester debout pendant sept heures, mes pieds me faisaient tellement mal qu’à la fin de la journée je devais me masser les pieds au moins 10 minutes avant d’entreprendre la marche vers le métro. Au début, je détestais mon stage et je voulais retourner chez moi.

Heureusement, je travaillais avec des gens super gentils et compréhensifs (pour la plupart) qui m’ont aidé à connaître le fonctionnement du restaurant et les préférences du patron. C’est vers le milieu de la troisième semaine que j’ai commencé à avoir presque plus mal aux pieds, à connaître les tâches à effectuer et à maitriser l’art du dressage de table. C’est aussi à ce moment que j’ai commencé à me sentir à l’aise à prendre des commandes. (C’est sûr que mes premières commandes n’ont pas toutes été parfaites mais au moins j’avais commencé à les prendre quand même) À partir de ce moment, j’ai pu prendre beaucoup plus d’initiatives et je ne devais plus toujours avoir quelqu’un derrière moi qui me disais quoi faire. Je pouvais faire mes tâches dans l’ordre qui me convenait et de la manière qui me convenait parce que mon employeur a vu que même si je ne prenais pas toujours sa façon de faire, tout était terminé à temps et le résultat était le même. C’est d’ailleurs ce qui me fait croire que j’ai apporté plus d’ouverture d’esprit à mon employeur et les autres employés du restaurant.

habitudes

tablebanquet3avril

journee

     Les Québécois, eux, ont plus tendance à parler de leur journée, de la famille, des exploits de leurs enfants, de leurs achats ou bien de leurs projets. Ils sont beaucoup plus souriants et compréhensifs. D’après ce que j’ai vu, les Français ont la mèche pas mal plus courte comparativement à nous, un détail qui nous paraîtrait banal peut leur faire perdre patience. Par exemple ; il m’est arrivé d’enlever l’assiette à un client avant qu’il ait fini et il a gueulé d’un ton fort et excessivement offusqué  ‘MAIS J’AI PAS FINI HEIN !!!!’. Par contre, un Québécois aurait simplement et calmement dit ‘Pardon, j’avais pas fini’ et probablement avec le sourire en plus. Deuxième exemple ; un client que je venais d’installer à une table m’avait commandé une bouteille de rouge. Je suis allé au bar demander à Jean-François de m’ouvrir la bouteille en question et en attendant, j’ai été porter de la vaisselle sale dans la cuisine et comme je retournais vers le bar pour récupérer la bouteille de vin, le client m’agrippe par le bras et me mime le geste d’ouvrir une bouteille et de prendre une gorgée d’une façon très brusque et bête au lieu de simplement me demander où j’en étais avec des mots et des phrases comme une personne normale. Quand je suis arrivée avec la bouteille, il me l’as pratiquement arrachée des mains sans me regarder où dire quoi que ce soit. C’est sûr qu’il y a des Québécois comme  ça aussi comme il y a des Français plus patients et compréhensifs. À chaque règle il y a une exception mais dans mes expériences de travail antérieur,  je ne me souviens pas d’avoir côtoyé des Québécois aussi impolis et impatients. Les Français n’ont pas que des défauts, évidemment. Ils ont aussi des qualités qui se retrouvent moins chez des Québécois. J’ai remarqué qu’ils étaient plus généreux en ce qui concerne qui paiera l’addition par exemple. Ils séparent rarement leurs factures et paient souvent pour leurs amis/collègues et j’ai aussi remarqué que les femmes paient très rarement leurs repas. J’ai aussi entendu mon employeur (et d’autres gérants de restaurants également)  dire ; ‘C’est la maison qui offre.’  à des clients, tandis qu’au Québec, j’ai absolument JAMAIS vu un propriétaire de restaurant offrir un repas à des clients. Une autre caractéristique que j’ai pu observer chez les Français est qu’ils sont beaucoup moins radins que les Québécois. Serge, mon patron, n’hésite jamais à offrir une assiette de terrine à des clients pour qu’ils grignotent un petit quelque chose avec leur apéro. Il pose des bouteilles d’alcool ou des assiettes de fromages directement sur la table pour que les gens se servent sans se soucier de combien ils en prennent. En bout de ligne, peut-être que sa lui coûte un peu plus cher comme ça mais à la fin, ses clients doivent lui être beaucoup plus fidèle et reviennent surement beaucoup plus souvent manger chez lui, une chose que les Québécois n’ont pas l’air d’avoir compris encore puisque chez nous, tout est compté, si tu veut un peu plus d’une telle chose ou un deuxième verre de n’importe quoi, on s’empresse de l’ajouter à l’addition.
      
Une autre particularité vraiment flagrante que j’ai remarquée en travaillant en France, qui diffère des habitudes Québécoises,  est le souci d’offrir un plat de qualité, préparé dans un environnement aussi sanitaire que possible avec des ingrédients frais du matin.  Mon patron apporte une attention presque obsessive à la présentation, les couleurs, la qualité, la fraicheur et surtout à  la salubrité de ses plats. Nous entendons JAMAIS parler d’un restaurant où le cuisiner remets de la nourriture qui est tombée par terre dans l’assiette, d’un cuistot qui éternue dans ses mains ou de cuisines insalubres. Chez nous, au Québec, ça semble être beaucoup plus fréquent. J’ai d’ailleurs travaillé à plusieurs endroits dont la propreté des lieux était assez douteuse. Dans mes emplois précédents, j’ai jamais vu mes employeurs prendre des ingrédients frais du matin, au contraire, ils veulent tellement s’en mettre dans les poches que même si un aliment est périmé ils essaient à tout prix de le vendre quand même.
      
Bref, il y a mille et unes petites (et moins petites) différences entre les Québécois et les Français. Je pourrais en parler jusqu’à mes 30 ans mais j’ai choisi les exemples qui m’ont sauté aux yeux en premier. Il faut quand même prendre mes observations avec un grain de sel parce que c’est des choses qu’une personne peut remarquer et qu’une autre ne verra jamais. Ça dépend de la manière dont nous avons été élevés, de nos origines et coutumes, notre génération etc. Voilà pourquoi j’ai essayé de m’en tenir aux valeurs générales et traits de caractère typiques des Québécois et d’éviter les détails trop pointilleux.  En exposant des traits de caractère et habitudes aussi générales que possible et qui rejoignent un maximum de personnes, les gens pourront s’identifier plus facilement à mes comparaisons et pourront alors mieux visualiser et  comprendre les nuances entre notre façon d’être et nos habitudes et celles de nos cousins Français.  

(Par exemple si j’aurais comparé le style vestimentaire ou bien l’heure à laquelle les repas sont pris, les gens ne pourraient pas se faire une idée globale précise puisque se sont des détails qui varient beaucoup d’un individu à l’autre.)

        Même si les différences culturelles m’ont un peu ralenti au début de mon stage, en bout de ligne, ce sont ces mêmes différences qui m’ont permis d’élargir mes connaissances et de perfectionner mes compétences en ce qui concerne le service à la clientèle. J’en ai apprit beaucoup plus sur la façon Européenne, plus distinguée, élégante et élaborée, d’accueillir et servir des clients en salle à manger. Je porte maintenant plus attention aux petits détails et je me soucie plus de la qualité de mon travail et de mon service. Le but n’est pas d’en faire  le plus possible, ni de faire nos tâches ou le service le plus rapidement et/ou facilement possible mais plutôt de bien faire le travail qu’on a à faire. Peut être qu’en une journée j’aurais complété moins de choses mais au moins, les tâches/responsabilités accomplies dans cette journée ne seront pas à refaire puisqu’elles auront été bien faites ; la performance générale sera plus de qualité au lieu de quantité.

            

Avec les nouvelles connaissances que j’ai acquises pendant mon stage je pense que je suis en mesure de me trouver un emploi dans un restaurant plus haut-de-gamme, plus luxueux, avec une clientèle plus exigeante et où les standards de service sont plus hauts. Grâce à mes expériences de travail antérieures, les compétences que j’ai accumulées et perfectionnées avec le temps, les connaissances que j’ai acquises à l’école, en travaillant ou simplement avec les expériences de vie et la maturité, je crois que je suis plus qualifiée, compétente et j’ai développé les qualités nécessaires pour travailler dans le domaine du tourisme et du service à la clientèle.

    J’ai hâte d’appliquer tout ce que j’ai apprit durant mon stage. De plus, si je peux travailler dans une entreprise ou restaurant plus renommé et/ou plus respectable où je pourrais effectuer un travail plus spécifique/spécialisé, j’aurais alors la chance de pouvoir élargir davantage tout le bagage professionnel que j’ai accumulé.

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La salle à manger du restaurant le Stade D’Issy qui est aussi la salle d’exposition de l’impressionnante collection d’objets de sports (principalement rugby, football [soccer], vélo & formule 1) des plus communs aux plus rares de mon employeur, Serge Rebondy

Pendant mon stage au Stade d’Issy, j’ai appris une panoplie de choses sur le service à la clientèle et sur la restauration en plus d’avoir acquis de nouvelles compétences tout en en perfectionnant d’autres. Bien sûr, certaines des compétences acquises durant mes six semaines de travail seront plus ou moins pertinentes et/ou utiles, tandis que d’autres seront probablement assimilées plus tard avec le temps. Il aussi celles qui pourront être appliquées et utilisées  immédiatement. Parmi tous ces apprentissages, voici les plus importants et les plus concrets qui, d’après moi,  me seront utiles dans un avenir rapproché.

                                                   acquis


MES COLLÈGUES DE TRAVAIL
(mise en page différente avec word..)

       betm_copy                      meme

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Tout le monde au resto à été super gentil      avec moi, mais je dois dire que sans Manu et Bobby,  mon stage aurait été tellement long et ennuyeux ! Ils ont été très ouverts, compréhensifs et patients avec  moi. Je dois dire qu’avec eux j’ai bien rit


LA VIE DE COLOCATION

La vie en colocation ce n’est jamais de tout repos, surtout quand on emménage avec trois inconnus. On a eu plusieurs petits accrochages, quelques arguments et évidemment, des désaccords à propos du ménage. Malgré tout cela, nous avons rapidement apprit à nous connaître et à nous accepter mutuellement ce qui nous a permis de passer une tonne de vraiment très beaux moments.

Le premier but de ce stage était de nous faire acquérir de l’expérience de travail et des nouvelles compétences  afin qu’on puisse se trouver un emploi stable en temps plein à notre retour. Je m’attendais à en apprendre beaucoup sur la restauration et la manière Française de travailler avec le public mais finalement j’ai appris beaucoup plus que ça. Le fait de vivre en colocation avec trois autres personnes m’a également fait voir la vie d'un oeil différent, apprendre à être ouvert d'esprit et faire des compromis et découvrir des activités/
passe-temps/opinions/idées/façons de vivre/habitudes/patois [etc.] bien différents des miens.

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MES VISITES PARISIENNES

Bien sûr, on ne peut pas parler de Paris sans parler de ses monuments, ses parcs, son architecture et ses musées. Personnellement, ce que j’ai le plus aimé c’est

la Tour

Eiffel

(Métro Trocadéro ou Bir-Hakeim)  et le parc de Buttes Chaumont (Métro Botzaris ou Buttes Chaumont) .

                                   places

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fortetfaible

Pour voici la liste des points forts et des points faibles, selon moi, du voyage et du stage.

POINTS FORTS :

-         Les stagiaires étaient bien choisis.

-         L’appartement était vraiment bien.

-         L’ambiance à mon lieu de stage était super conviviale et mon employeur ainsi que les autres employés étaient tous très gentils et compréhensifs envers moi.

-         Nous pouvions facilement rejoindre Tiphaine ou Isabelle en cas de besoin et le Centre d’emploi Arc-de-Seine était très accessibles aussi.

-         Les gens qui travaillent au Centre d’emploi Arc-de-Seine étaient extrêmement gentils et toujours disponibles pour nous aider quelque soit le problème.

-         Mon employeur me laissait la liberté d’avancer à mon rythme ; par exemple je n’étais pas à l’aise de prendre les commandes en début de stage et il a attendu que je me sente à l’aise avant de me les faire prendre.

-         Les réunions au CJE Ouest-de-L’ile et les documents qu’ils nous ont fournis avant le départ, ont été très utiles et pertinents.

POINTS FAIBLES :

-     Les stages des autres stagiaires étaient plus ou moins bien choisis ;   

      Charlélie à eu un patron absolument dingue qui lui donner de la   

      nourriture périmée à manger, Aimée-Soleil disait qu’elle avait jamais de

      travail à faire et que son stage n’était pas dans son domaine d’études et

      Karine disait que son patron ne lui donnait pas grand-chose à faire et

      elle avait du matériel informatique carrément désuet. Pour mon stage à

      moi c’était bien quand je m’y suis habituée au bout de  2 semaines.

-         Il faudrait que se soit clair avec les employeurs que nous ne sommes pas des bénévoles qui sont là gratuitement dans le but de faire le plus de travail possible pendant la durée du stage.

-         L’adresse qu’on m’avait donnée pour réclamer mes frais de consultation médicale m’a été donnée dans la dernière semaine du voyage et ce n’était même pas la bonne adresse et je dois maintenant faire la réclamation par la poste parce que, en plus, les médecins m’ont donné des factures non-valides au bureau d’Assurance Maladie.

Étant donné que l’objectif principal de cette expérience était d’acquérir des nouvelles connaissances et de l’expérience de travail afin d’être plus compétent et qualifié pour un emploi futur ; je crois qu’il est important de dresser la liste de mes principales points forts et points faibles dans le but de prendre conscience de ce qui dois être amélioré ; soit dans ma façon de travailler, ma personnalité ou tout simplement des difficultés que j’ai eue au cours de mon stage qui peuvent être réglées.

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Rapport Final Paris 2008
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